De retour d'Alaska, avec des images plein la
tête. 10 jours à l'autre bout du monde, déconnecté. Pas d'ordinateur, de
téléphone. Une saine coupure. Et une reprise bille en tête avec une sélection
ultra vitaminée. Avec un premier clin d'oeil à ce que j'aime le plus, le
ski et la vidéo.
Clin
d'oeil : des skieurs qui vous en font voir de toutes les couleurs
Clin
d'oeil : des skieurs qui vous en font voir de toutes les couleurs
Nicolas et Loris Falquet partagent la même passion que moi. Le ski
et la création vidéo. Sur les planches, cela fait des années qu'ils multiplient
les descentes inédites et les gros sauts. Ce sont des passionnés qui aiment
partager leur amour pour ce sport et qui cherchent à chacune de leurs sorties
des idées originales pour le magnifier.
Là où la plupart des riders se contentent de coller les unes
après les autres leurs plus belles séquences, en injectant des images en caméra
subjective et se différencient juste par leurs prises de risques. Eux refusent
depuis plusieurs années la surenchère ambiante et misent avant tout sur leur
créativité. Ils filment avec des caméras de cinéma et essayent de renouveler le
genre.
Il y a
quelques mois, ils ont ainsi organisé une énorme session de nuit avec le
snowboardeur Xavier De Le Rue et saisi des images en noir et blanc entièrement
avec pour seule source de lumière d'immenses projecteurs. Résultat, des
runs où les voient jouer avec le relief en ombres chinoises, des descentes en
contre jour étonnantes.
Pour leur
dernière vidéo, les deux vaudois ont imaginé un scénario tout aussi fou :
glisser non plus sur de la neige blanche mais sur des cristaux de couleur. Ils
ont ainsi aspergé de peinture des pans de montagne et se sont jeté allègrement
dans ces faces teintées en orange, en rouge ou en bleue. A l'arrivée, des
gerbes de poudreuse multicolores. Et des images qui n'ont rien à voir avec les
"skiporn" habituels à base de jumps et de lignes énormes. Au ralenti,
on voit la neige se compresser, se craqueler et s'envoler au passage des
spatules. Et on admire la précision de leurs trajectoires et leur
style agressif. Deux semaines de travail pour deux minutes de court
métrage. Mais leur inventivité a été récompensée puisque c'est désormais le
clip qu'il faut avoir vu pour tous les amoureux de glisse. Un bon trip pour
reprendre le titre de leur web série.
Clin
d'oeil : "This is my court", l'ambiance des playgrounds, l'esprit des
baskets de rue
Clin
d'oeil : "This is my court", l'ambiance des playgrounds, l'esprit des
baskets de rue
Une vidéo qui parlera à ceux qui ont joué au basket sur les playgrounds. A Bir Hakeim, à Port Royal, et un peu partout ... Ceux qui savent que loin de l'univers feutré des gymnases, le ballon orange peut sentir le cuir, la sueur et le sang. Ceux qui ont appris qu'au royaume de l'intox, regarder ses adversaires dans les yeux avec la ferme intention de leur monter dessus, histoire de se faire respecter. Les frères Jonathan et Josh Baker signent avec "This my court", un hymne au bitume et ses panneaux sans filets, une ode aux après-midi où chacun n'a qu'une idée en tête réussir le prochain block ou écraser un dunk sur la tête de son vis- vis. En noir et blanc, une vidéo sur le basket sans une minute de jeu, un film sur les défis qui font toute la saveur de ces joutes balle en main.
Clin
d'oeil : le Maroc vu par un Espagnol ça le fez
De Fez au
Dunes de Merzouga, un beau voyage au Maroc. Enrique Pacheco vient de mettre en
ligne une vidéo qui témoigne d'un amour des belles images et d'un maitrise
certaine. Photographe de formation, l'Espagnol a réalisé un joli film
avec son DLSR Sony A 99 à base de ralentis et de Time Lapses. Une découverte
des lumières du sud, douce le matin, écrasante à la mi journée et dorée
au couchant. Des atmosphères très différentes pour des lieux qui ont
chacun leur caractère, que cela soit le souk de Marakech avec ses puits de
lumière ou la tannerie où les artisans travaillent dans le calme sous le
soleil de plomb. Un Magreb de cartes postales, tout en
couleurs.
Clin
d'oeil : un autocollant pour les fous du volant
La
plupart des accidents de la route se déroulent la nuit. Pour
reponsabiliser les fêtards avant qu’ils ne prennent le volant, l'agence
BBDO Proximity Thaïland a une idée lumineuse : coller des
auto-collants sur les phares de voitures garées aux abord des boîtes de nuit.
Une campagne phare de l'agence d'information sur la santé, Thai
Health, qui permettra peut-être de réduire les conduites à risques.
Clin
d'oeil : une vague de vidéo pour la Syrie
15 mars
2013. Un triste anniversaire, une date qui marque les deux ans du début
de la révolution syrienne. Deux ans de crimes contre des civils. Selon les
Nations-Unies, plus de 70 000 personnes ont été tuées, des dizaines de milliers
d’autres ont été blessées, sont disparues ou emprisonnées, des milliers ont été
victimes d’actes de torture, de mauvais traitements, de violences sexuelles,
des millions ont été déplacées à l’intérieur et des centaines de milliers sont
réfugiées à l’extérieur du pays.
Des
politiques, de sportifs, des artistes, des personnalités de la société civile
et des politiques s'expriment face caméra pour stoper les massacres en Syrie.
Robert Badinter, Monseigneur Gaillot, Lilian Thuram, Didier Porte, François
Cluzet et bien d'autres ont répondu aux sollicitations de diverses associations
humanitaires comme la Fédération internationale des droits de l'Homme, Amnesty
international ou Human Right Watch.
Ces vidéos
intitulées "2’ pour la Syrie" dans lesquelles les "people"
lancent un appel à manifester, à être solidaire de ceux qui tentent de vivre
sous les bombes et à faire pression sur les gouvernements en s'expriment
en voix off sur des images filmées par des citoyens syriens au péril de
leur vie sont à retrouver sur un compte Dailymotion dédié dans le cadre de
l'opération une "vague blanche pour la Syrie".
Pour dire
« STOP » aux crimes contre les civils et réclamer que justice soit rendue en
faveur des victimes, et faire savoir au peuple syrien qu’il n’est pas oublié,
une manifestation internationale a été organisée le 15 mars 2013.
Le
principe de cet événement planétaire était simple : demander aux citoyens du
monde entier de se réunir dans leurs pays respectifs à la même heure, de 19h à
19h30, un papier ou un tissu blanc à la main, le mot « STOP » écrit dessus
déclenchant ainsi au fil des fuseaux horaires et à travers le monde, une «ola»
mondiale de protestation, une immense vague blanche, reprise au fil de la
journée par les médias.
15 mars
2013. Un triste anniversaire, une date qui marque les deux ans du début
de la révolution syrienne. Deux ans de crimes contre des civils. Selon les
Nations-Unies, plus de 70 000 personnes ont été tuées, des dizaines de milliers
d’autres ont été blessées, sont disparues ou emprisonnées, des milliers ont été
victimes d’actes de torture, de mauvais traitements, de violences sexuelles,
des millions ont été déplacées à l’intérieur et des centaines de milliers sont
réfugiées à l’extérieur du pays.
Des
politiques, de sportifs, des artistes, des personnalités de la société civile
et des politiques s'expriment face caméra pour stoper les massacres en Syrie.
Robert Badinter, Monseigneur Gaillot, Lilian Thuram, Didier Porte, François
Cluzet et bien d'autres ont répondu aux sollicitations de diverses associations
humanitaires comme la Fédération internationale des droits de l'Homme, Amnesty
international ou Human Right Watch.
Ces vidéos
intitulées "2’ pour la Syrie" dans lesquelles les "people"
lancent un appel à manifester, à être solidaire de ceux qui tentent de vivre
sous les bombes et à faire pression sur les gouvernements en s'expriment
en voix off sur des images filmées par des citoyens syriens au péril de
leur vie sont à retrouver sur un compte Dailymotion dédié dans le cadre de
l'opération une "vague blanche pour la Syrie".
Pour dire
« STOP » aux crimes contre les civils et réclamer que justice soit rendue en
faveur des victimes, et faire savoir au peuple syrien qu’il n’est pas oublié,
une manifestation internationale a été organisée le 15 mars 2013.
Le
principe de cet événement planétaire était simple : demander aux citoyens du
monde entier de se réunir dans leurs pays respectifs à la même heure, de 19h à
19h30, un papier ou un tissu blanc à la main, le mot « STOP » écrit dessus
déclenchant ainsi au fil des fuseaux horaires et à travers le monde, une «ola»
mondiale de protestation, une immense vague blanche, reprise au fil de la
journée par les médias.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire